« Pour filmer ma mère, personne d’autre qu’Olga Widmer ne pouvait se tenir derrière la caméra car la douceur avec laquelle elle regarde les autres, l’attention qu’elle leur porte, la précision avec laquelle elle observe et la discrétion dont elle sait faire preuve font partie de sa manière de filmer. Je sais sa capacité à saisir les regards dans les moments justes, percevoir sans erreur les gestes qui caractérisent un individu. »
Fatima Sissani, réalisatrice du film La langue de Zahra.